Bon ce n'est pas vraiment un trucage, ya plus de texte que de trucage mais bon. Ca devait etre destiné au l'evenement so et puis comme il en parait pas...
Bonne lecture ! :lire:
La grande histoire.FlashbackLes aventures d’Alis d’Abheleim Tout se passe au debut de notre aventure, la sphere de vie vient d’etre volée, la prosperité n’est plus d’actualité, le mal commence a se repandre...
Prologue :
Assise la sur la paillasse qui me sers de lit, je medite. comment avons nous pu en arriver la ? J’ai besoin d’une pause, un temps de rapel, une seance nostalgie.
Je suis née a Abheleim, la grande et magnifique cité. Du moins a l’epoque. Nous étions riches et relativement heureux. Pere travaillait sans cesse dans ce but.Ma chambre été immense, dans des couleur et des matieres de premier choix. J’été une jeune fille sage, prédéstiné a devenir une enchanteresse. J’aprenais tout juste a ecrire et lire. Encore une année et je serais entrée dans l’ecole de magie de Proncilia. Mere m’avait deja acheté ma robe d’apprentie.
Je suppose que l’on pouvait me considerer comme une enfant gatée. J’avais tout. Un nombre incalculable de jouet fabriqué par tout les artisant de la ville. Meme le forgerons, avant sa fuite, me fabriquait des merveilles. Il m’avait promis la meilleur dague de mage jamais forgée pour mon premier sors lancé. J’avais des amis,je les adorais tous, on été tous tres proche. Il y avait Andrev, que j’aimais comme un frere, Berien, le plus drole il avait un don pour nous faire rire aux eclats,et bien sur Dab, notre protecteur.
Dab... Comment a-t-il pu... ? Il faut que je continue je dois y voir plus clair.
Que c’est il passé ? ah oui, Pere est devenu de plus en plus distant. nous avons mis du temps a comprendre. J’ai pensée qu’il ne m’aimait plus, ou bien qu’il avait une autre vie ailleur, d’autres enfant peut être. Je regrette tellement d’avoir été aussi stupide. Mais, maintenant, je sais que même si mere et moi avions compris plus tôt, il était trop tard. Le processus été lancé.
Il y a eu donc Dab. Il été notre sauveur. Dans tout les jeux que nous inventions, il avait l’idée de genie. Il prenait toujours le role du defenseur, le bon, le juste, le heros. Il n’a jamais eu de pere. J’ai toujours pensé qu’il essayer de rester a la hauteur malgré tout en se donnant ces roles. Qui aurait pu imaginer le malaise qu’il cherchait a camoufler sous ses amusements d’enfant.
Nous. Andrev, Berien et moi. Nous aurions du le decouvrir... Je pensais etre proche d’eux, mais c’etait faux.
C’est quand il nous a trahi que nous avons compris se qu’il en été pour pere. Je ne lui pardonnerais jamais !
" Alis !" Voila mere qui m’appel, "Tu es allée dans la salle d’entrainement ?" Je hais cet endroit. Cela fait des mois que je massacre des pauvres blobs dans cette salle, pour quelques miserbale pieces d’or. " j’y suis allée hier, on a suffisement de pieces d’or !" que je chuchote, car la maison est tellement en piteux etat que l’on s’entend murmurer d’un bout a l’autre. " Courage ma fille, bientot tu pourra aller te payer une arme plus convenable que ce reste d’épée brisée !" Voila donc mon quotidien. Parfois les blobs ont avalé plus de pieces d’or que d’habitude, se qui me permet un repis. Et bien sur, parfois j’ai beau fouiller leur entraille je ne trouve rien.
Il parait que le monstres qui sont apparu a la sortie de la ville sont beaucoup plus interessant. Je pourrais meme recolter des fourrure ou autre que je pourrais revendre a meilleur prix. Mais je n’ai que 11ans. Pere est mort. Et mere fait tout se qu’elle peut pour reussir a nous nourir.
Depuis que Andrev et Berien on fuis eux aussi je me sent bien seule. Sarosa est une bien petite ville par rapport a Abheleim, j’aurais aimé qu’Andrev soit la pour prendre soin de moi. Sa complicité me manque, et le regard grassouillet de Berren a laissé un vide immense. Ici il ne se passe rien. Lorsque les Slayers, les hommes des services secrets du roi ont traversé notre village, ca a été un grand evenement. Les pouilleux de ce patelin font d’un rien un evenement. Un Slayer serait perdue dans Abheleim... Si seulement nous les avions eu avec nous des le debut. Jamais ma ville natale serait tombé dasn uen telle corruption gouverné par le pillage.
Je sors donc de la maison, je souris a mere sur le pallier, et m’avance vers la salle d’entrainement. L’herbe sur le sol est encore humide de la derniere pluie. Je n’emprunt jamais le sentier battu, ainsi je trace ma propre route. Se que je compte bientot faire de maniere plus général.
...La suite au prochain numero !
(texte et idée original : Cam' ; Illustration montage : Playiku)