Bon je recommence entièrement mon rp dites ce que vous en pensez.




C’était un Brasis 7 Deficos, le froid et la neige avait recouvert Vesperae. Roland III était au chaud dans son palais alors que le bon peuple mourrait de froid dans les rues. Ce Lanjis fut très rude et les récoltes de cette année là furent maigres. Mes parents étaient issus d’une longue lignée de fidèles du roi. Eux aussi étaient au chaud dans leure villa Trigornienne. Ma mère accouchait alors d’un petit homme, c’était moi. Mon père accordait alors peu d’attention au nouveau venu. Il avait engagé une sage femme pour pouvoir vaquer à ces occupations pendant l’accouchement. Ma naissance se passa normalement et quand ils virent que je fus un fils, ils bondirent de joie. L’héritier de la famille, le successeur de son père à la tête de l’entreprise. Mon père laissa ses affaires pour venir me voir et me prendre dans ses bras. Je ne me souviens plus des années qui ont passés après cela. Je ne me rappelle que de ma mère qui excusait les violences que mon père lui faisait subir. Un jour, ma mère m’avait emmené en bordure des bois. Je m’amusais à ramasser les champignons. Je les choisissais avec la plus grande attention. Peu à peu je m’enfonçais dans la sombre forêt. Je n’entendais même plus les appels acharnés de ma mère. Jusqu’au moment où la nuit se mit à tomber, je ne voyais plus ma mère ni la sortie. Tout à coup une main glacée se posa sur mon épaule. Je sentais tout au fond de moi une peur indescriptible qui m’empêchait de faire le moindre geste. La personne ou la chose qui se trouvait derrière moi se mit à rire. Ce rire me glaçait le sang, il me glaçait tout le corps. Soudain sans dire un mot de plus il s’approcha lentement de mon cou et le mordit à pleine dent. La douleur était telle que je m’évanouis. Je me réveillais quelques heures plus tard, la nuit était toujours. Je me levai et courai de toutes mes forces pour sortir de cette maudite forêt. J’étais donc livré à moi-même dans cet environnement hostile.


Six ans ont passés. Mon adolescence était rythmée par les mouvements du soleil. J’étais un jeune fantôme nocturne, une ombre de la nuit. Je me nourrissais du sang de la faune locale mais mon plat favori était le sang humain. J’étais devenu un vampire vagabond, je errais dans la forêt. Avec comme seules armes mes doigts griffus et mes dents acérées. Les valeurs telles que l’amitié ou la famille ne m’étaient d’aucune utilité dans cette forêt. Le moindre ménestrel qui se promenait voyait un jeune homme hirsute sauter d’un arbre et lui assigner un coup de griffes en pleine figure. Cette période fut la plus chaotique de ma vie.


C’était une belle nuit de Yuyio, Lanji n’avait pas encore recouvert Vesperae de son grand manteau blanc. J’étais assis dans un arbre en bordure de Lhynn. Un homme encapuchonné sortait de l’épaisse forêt. Il avait entre ses mains tremblantes une hallebarde. Il semblait pressé et il marchait d’un pas rapide et saccadé. Heureux d’enfin voir une proie digne de ce nom je m’élançai à sa poursuite. Sans prendre la peine d’approcher discrètement je sautai sur le mystérieux individu. Il poussa soudainement un hurlement et se retourna. Comme s’il savait que j’étais derrière lui depuis près de cinq minutes. Une aura rouge apparut soudainement autour de lui. Etant un vampire je sentais son énorme puissance, j’avais affaire à plus fort que moi. Ses yeux devinrent blancs, ses veines ressortaient de son poignet devenu rougeâtre. Il déchira sa cape grise et cria de plus belle. J’étais pétrifié de terreur devant un tel monstre, mon corps était froid comme la glace. Tout à coup je sentis que la puissance n’était pas la sienne mais celle de la hallebarde qui luisait d’une lueur rouge. L’homme maintenant torse nu essaya de faire un pas mais chuta lourdement. Son corps se mit à enfler comme un gâteau trop levé. Ses yeux sortirent de leurs orbites. Il avait tellement enflé qu’il mesurait alors presque trois mètres. Il explosa alors tel un ballon, la hallebarde avait eu raison de lui. Je m’approchai lentement de la marre de sang engendrée par l’explosion du malheureux. L’arme brillait d’un faible lueur rouge sang. Je pris le manche et la même aura rouge m’entoura. Aucune souffrance ni changement. J’arrivais à canaliser l’énergie de la hallebarde. Je décidai alors de garder cette arme magique.

"Son corps se mit à enfler comme un gâteau trop levé"

Ca me fait assez marrer ça x')

je pense qu'il a bu de la levure <_<' XD

super RP,
peut etre tu devrais décrire le vampire qui ta mordu

Pas vu il était dans mon dos