Antoninus, voleur de Sarosa.
Mon enfance ...
Adopté par un couple de villageois habitant à Sarosa, je ne connais pas mes origines ... Ma famille m'exploitait, et je n'avais d'autres choix que d'obéir. A l'age de cinq ans mon père adoptif m'apprenait à manier le lance-pierre, à l'age de six la dague ... Cet homme était un voleur de la pire espèce, il ne reculait devant aucuns méfaits. Un jour, je l'ai vu égorger une vieille dame sans aucune défense dans un coin sombre de l'enclos a vache de Sarosa. Le seul objectif de son crime était de récupéré le sac de cette pauvre femme ... Dans ce village, je n'avais qu'un seul ami, le clochard du pub. Cet homme avait tout perdu, je comprenais et ressentais la même solitude que celui-ci, c'est pour cette raison que je suis devenus son seul amis. Ce clochard fut jadis un grand avanturier. Je me souviens très clairement de ses prouesses qu'il me narrait si bien entre deux verres de jus de blob. J'appris la raison de son lamentable état dans l'une de ses histoires. Lors d'une de ses grandes expéditions en montagne, son groupe fut sauvagement écrasé par une horde de yétis. Culpabilisant de ne pas avoir pus le sauver, il sombra dans la tristesse et l'alcool.
A l'age de seize ans, mon père disparut sans raison apparente. Plus personne ne me retenait ici. Je décida donc de partir de ce village dans lequel il me reste encore trop de mauvais souvenir. Avant mon départ, je teins à faire mes adieux à mon amis le clochard. Ernest, c'était son nom. Il me paya un verre pour la premiere fois. Ce jour là, il me confit que parler avec moi lui avait redonner courage et il comptait reprendre ses voyages très bientôt. Il m'offrit une vielle dague émoussée, puis disparut.
C'est ainsi que je partis à l'aventure en quête de gloire et de fortune.
Des débuts difficile
Je partis donc de Sarosa. Je m'enfonça loin dans la forêt nord truffé de Blobs et de lapins agressifs. Jour après jour, je combattais ces misérables créatures afin d'affuté mes compétences au combat. Ma vivacité me permettait de me glisser derrière mes adversaires afin que je puisse leur assener un coup fatal dans le dos sans trop de difficulté. Aussi étrange que cela puisse parraitre, ma vieille dague émoussée que m'avait offerte mon amis Ernest, s'enfonçait dans la masse de mes ennemies comme un couteau dans du beurre. Un soir, alors que j'étais en train de méditer au coin du feu, ma dague, que j'avais posée sur une pierre à coté de moi, s'illumina d'un bleu d'une très forte intensité. La lumière était telle que je dus cacher mes yeux sous peine de ne plus jamais pouvoir m'en servir. La lumière bleuté diminua d'intensité, je pris la dague, apparament magique, dans ma main droite. La lumière avait attiré les blobs environant, je les sentis arriver. J'étais encerclé et ils s'approchaient hostillement ... La lumière qui avait été émise par la dague recommença de plus belle et envellopa tout mon corp. Les blobs terrifié par ce prodige se ruèrent sur moi. Je sentis une force étrangère à la mienne porter mon corp. Dix blobs, chacun à leur tour, en l'espace d'une seconde, furent annhilé. La matière bleu gluante s'évapora sous mes yeux ébahis. La dague ne brillait plus, la force qui s'était emparée de mon corp s'évannouit aussi.Epuisé, je m'endormis.
Les débuts de l'Evénement So
Lorsque je revint à Sarosa pour panser mes plaits, le petit matin commençait tout juste à pointer le bout de son nez. J'ai toujours croisé beaucoup d'aventurier dans ce petit village. Ces vaches ... Son herbe ... Cela me donne envie d'ecrire un poème sur la magnifique Sarosa le carefoure de l'aventure. Je partis donc à la recherche d'herbe médicinale, ainsi, je pour parvenir à continuer ma route. J'entrais dans la boutique. La vendeuse parlait avec un client. Je patienta en les écoutant.
-Vendeuse
Et surtout n'hésitez pas à revenir !
-Client
Ha, vous me reverrez bien assez tôt ... Avec tous ces misérables assassins dans la forêt ...
-Vendeuse
Oui, c'est un véritable fléaux ! Ce sont des fous ! Faites attention à vous, j'ai entendu dire qu'une bataille aurait lieu en fin d'après midi ! Des groupes vont s'affronter, je vous conseil de ne pas rester dans les parages.
-Client
Oui, j'en ai entendu parler ... Je vais me joindre au groupe qui va combattre ces assassins.
-Vendeuse
Quel horreur ! Cet affrontement va faire encore de nombreuses victimes ...
-Client
Ce soir, nous serons victorieux de ces fous !
Le client se tourna vers moi.
Et vous ! Quel camp avez vous choisis ?
(Je le dévisagea sans lui répondre)
Faites vous semblant de ne pas entendre ?
-Antoninus
... Je n'ai rien a vous dire.
-Client
Je n'apprécie pas votre ton ! Changez le ou bien vous gouterez de ma lame.
-Vendeuse
Pas de bagare ici !
-Antoninus
... Cette déclaration reflète bien l'état d'esprit de votre groupe. Vous ne vallez pas mieux que ce que vous combattez.
-Client
Non mais pour qui tu te prend ! Garde tes leçons, je n'en ai rien a faire.
-Antoninus en s'adresse à la vendeuse
Bonjour madame, j'aimerai quelques potions pour panser mes blessures, pourrais je vous en achetez une ou deux ?
-La vendeuse
Bien évidement ...
-Le client
Non d'un petit bonhomme ! Ne me tournez pas le dos ainsi, vous risqueriez de ne plus pouvoir vous retournez ! Plus jamais !
Je sentis la pointe de l'épée commencer à percer ma cape. Mon instinct me recomanda de bouger plus vite que mon adversaire. En un éclair, les rôles s'inversèrent.
-Antoninus d'un ton froid et sans réplique
Sors d'ici.
Il prit la porte. J'acheta mes potions et repartis pour la forêt.
De nombreux guerriers s'affrontaient, je tachais de les éviter pour éviter de perdre mon temps et mon énergie ... Lorsque la nuit fut tombée, j'aperçus le chateau. Je décida de m'y arreter pour la nuit. Le hall était noir de monde ! Des mourants étaient entassés les uns sur les autres, c'était épouvantable. Je décida de distribuer les potions qu'il me restait. Je vis un homme qui interogeait les bléssés avec une plume et un manuscrit à la main. Je m'approcha du mourant qui était assaillis de questions et lui tendis une potion.
-L'homme à la plume
Je vous remercie ! Peut être que je vais enfin tirer des réponses de cet estropied ! A qui ai je l'honneur ?
-Antoninus
Je suis Antoninus, Antoninus de Sarosa.
-L'homme à la plume
Et bien moi je suis Zack, Zack deckard ! Enchanté Antoninus.
-Antoninus
Pourquoi posez vous tant de questions à cet homme qui ne semble pas être en mesure de vous répondre ?
-Zack
Cet homme est le chef du groupe des assassins. Ha ! Mon nom ne vous dit rien ? Je suis le rédacteur en chef de la tribune de Trigorn. Vous ne connaissez pas ?
-Antoninus
J'en ai vaguement entendu parlé ...
-Zack
Tout de même ! Tenez, je vous offre le dernier tribune de trigorn en date. Nous en sommes à la 6emme éditions !
-Antoninus
Je vous remercie, Zack.
-Zack
Vous m'avez l'air de quelqu'un de réfléchis ... Accepteriez vous d'écrire pour moi ?
-Antoninus
Je dois décliner votre offre. J'ai dans l'idée de vous faire concurence.
-Zack
Soit ! Je vous souhaite bonne chance dans votre entreprise.
Je le salua et m'éloigna. Je ne sais ce qui m'a pris, pourquoi m'être lancé un tel défis aussi subitement ? Peut être l'envie d'être reconnus par tous et le désir d'informer les gens. Je me lança comme un forcenet dans la création de mon journal que je nomma L'événement So. Alors que je ne connaissais personne et que mes compétences dans le domaine de l'imprimerie. Je parvins à sortir une édition, dont un article sur les arènes qui a soulevé des débats concernant le respect des rêgles. Je sortis trois editions, puis je décida de faire une pause après le scandale Zack deckard. Je le repris un moi plus tard le temps d'une parution et demi, puis je l'arreta.
C'est un peu avant la parution de la premiere edition que je fus la connaissance d'un grand Homme nommé Dagenfort.
Les trois royaumes à suivre ...
_________________
Sujet: L'histoire d'Antoninus 
Dim 17 Oct 2004 - 15:51
(déjà posté sur le forum rp de la citadelle)
