vous qui lisez ces lignes vous découvrirez cette histoire qui est la mienne, la même histoire qui passera a travers les ages a partir de cet encre et ce papier.chapitre premier : Un avenir déjas forgéPar dela les forêts de l'ouest, les villes du nord et les marais de l'est il existait une Cathédrale qui était le berceaux de tous ces guerriers saints que l'on appelait : Paladins. C'est a cet endroit que je suis né. Mon père ce nommait Alexandre et était le leader des Paladins quant a ma mère, elle est morte une heure après ma naissance, elle avait juste eu le temps de me donner mon nom : Issyl. Selon les paroles de mon père elle était une elfe magnifique mais ce n'était que des parole et la seul certitude que j'ai encore aujourd'hui c'est qu'elle était une elfe. Par la suite la soeur de ma mère : ma tante Clara c'est occuper de moi comme si elle était ma mère et je crois que c'est cela qui ma empêcher de sombrer dans la folie du a la perte de ma mère. Les années passerent et je devint un enfant. La vie était belle a la Cathédrale. Les jardins était fleurit, le soleil brillait de tout sont feu et les gens était heureux. Quand j'avait environ six ans mon père avait décider de prendre mon avenir en main. Après tout j'était son succeseur, son héritier et c'était mon devoir de prendre sa place lorsqu' il ne serait plus apte a diriger. Mon père me donnait un entrainement quotidien qui parfois était rude et exigant, C'est comme si mon age n'avait plus d'importance tout d'un coup mais je ne pouvait pas lui en vouloir. Quant a ma tante elle m'enseignait ce que ma mère n'avait jamais pu m'enseigner, tout ce qu'un elfe doit savoir. La nature, les animeaux, la sagesse et même la magie. Le temps passait encore et je devint un adolescant. C'est a ce moment que j'avait commencer a me poser des questions sur moi, ma mère et surtout mon avenir. Était-je vraiment apte a prendre la place de mon père? Qui était vraiment ma mère? Pourquoi lorsque les autres enfants jouait dehors, moi je m'entrainait a l'épée et a jeter des sorts? J'était un devenu un guerrier certe mais au fond de moi je n'était pas vraiment heureux.
chapitre deux : Une victoire mais a quel prix?Encore une fois le temps coulait comme une rivière et je devint un jeunne homme. J'avais exactement seize ans lorsque une guerre éclata. Une des guerres les plus meurtrières de l'époque et mon père devait ce rendre sur les champs de batailles pour la survie de l'humanité. Pendant des jours je voyait les blessers revenir a la Cathédrale sur des civières porté par d'autres hommes plus chanceux. Je n'était plus un guerrier mais maintenant un Paladin, mon entrainement avait porter fruits et j'était apte à aller a la guerre. Mais mon père ne voulait pas prendre ce risque et m'interdissait de sortir du batiment. J'était impuissant a tout ces évenement puis vint la nuit de la bataille finale. Mon père devait aller intercepter un groupe de démons diriger par une étrange créature ailer dont personne ne pouvait donner une description précise. La nuit était nuageuse et j'avait peine a percevoir la lune ce soir la. Ce soir ou mon père était revenu sur une civière. Les hommes m'avait dit que c'était une embuscade que la créature ailer avait tout prévu comme si il était devin. J'était la, a le regarder sur son lit de mort ne pouvant rien faire pour lui. Il me dit une phrase, une seul avant de mourrir '' Un ange, j'ai vu un ange '' puis il est mort. Que voulait t'il dire? Je l'ai su peut de temps après. Je me suis rendu au jardin pour penser et puis la je l'ai trouver, le corp de ma tante qui baignait dans son sang. A coter de celui était poser un message sur lequel était écrit '' je suis a l'église, rejoint moi et affronte ton destin '' l'église, celle de Trigorn plus précisément. Je mit suis rendu sans prévenir personne. Il était la, a m'attendre devant l'hotel de la chapelle, un ange qui semblait puissant et qui avait les ailes d'un noir obscure, un ange déchu. Il avait un regard noir et était d'un calme apeurant. Le combat commenca par la suite, un combat inégal, un combat perdu d'avance. Il prit vite le dessus et finit par me jetter contre un mur. Il était prêt a m'achever mais d'un coup sec j'avait reussit a l'embrocher dans un mouvement désesperer. Il était par terre mais encore vivant. Je savait que je ne pouvait pas le tuer, j'était trop faible. Je l'ai alors enfermer dans les sous-sol cacher de la Cathédrale, enchainner sur une croix et blesser il ne pouvait rien faire. L'heure était maintenant venu de prendre la place de mon défun père. Peut a peut je m'habituait a toute ces choses politique et économique et a vingt-trois ans je me suis apercu que mon corp ne viellissait plus, signe que ma mère était bien une elfe et que mon père ne mentait pas.
chapitre trois : Beaucoup d'amis mais encore plus d'enemisLa vie reprenait son cour mais le deuil ne partait jamais. A mes vingt-six ans j'avait trouver l'amour, un nouveau sens a ma vie et elle s'appelait Gwangi. Moi et les Paladins avions acquis une grande réputation et beaucoup de guerriers venait nous rejoindre. L'un d'entre eux ce nommait Vicius l'autre Sylphisius, un autre du nom de Luras et bien d'autres. Tous c'était join a ma cause mais j'avait encore un problème a regler a après des années de recherche je connaissait le nom de ce problème : Gabriell. Dans mes recherche j'avais aussi trouver un moyen de rendre aux anges déchu leur bonté. Je tester le rituel sur Gabriell et sa a marcher, mais pour combien de temps? Le pouvoir de l'ange Gabriell produisait une aura impenetrable pour les démons autour de la Cathédrale, un peut comme celle du temple sauf que le temple produisait lui même son aura qui était la en permanence. Mais toute cette réputation a attiré le regards des démons sur nous et nous a occasionner de nombreux probleme. L'un d'eux se nommait Fozzy et d'autres noms dont je ne me souvien plus. Même si tout ce malheur nous frappait notre espoir de voir une ère nouvelle lui persistait. Mais un jour, Gwangi partit tout simplement, sans au revoir. Les démons eux n'avait pas de répis, ils était de plus en plus nombreux et je sentait que quelque chose ce préparait. Malgrés tout ces combats j'esperait qu'un jour elle revienne.
chapitre quatre : Le début de la finDeux ans passèrent et Gabriell ne montrait aucun signe de chaos ou de vengeance, il était comme l'ange qu'ont voit dans les légendes. Mais la guerre éclata de nouveaux : la guerre des armes. Une guerre qui impliquait toute les nations du mal et du bien, une guerre qui fait encore rage au moment ou j'écris ces mots. J'ai participé a cette guerre, peut-être une erreur de ma part ma j'y ai participé. L'attaque des elfes noirs était annoncer lorsque je rentrait dans la salle du conseil du bien, nous ne pouvions les aider directement et j'ai alors porposer un plan, un plan qui changa toute la guerre. Moi et les Paladins avons proposer au conseil une attaque sur Gathol, la ville morte occuper par les démons, elfes noirs et autres vermines. Oui cette idée venait de moi. Un grand rassemblement a Sarosa s'en suivit et Gabriell était l'un des commendant que j'avait envoyer labas. Quant a moi je restait a la Cathédrale en cas d'éventuelle attaque. Une autre erreur de ma part, le sort de controle sur Gabriell a ceder et il est redevenu l'ange déchu qu'il était mais cette fois il était remplis de colère. Il est alors partit du camp de Sarosa en prenant soin d'ammener une arme magique capable de détruire les batiments : de la poudre dont j'ignore les proprieter. Il entra sans dificulter et nous prit tous par surprise, encore une fois je n'était pas de taille mais cette fois la chance ne m'a pas sourit. Après avoir tuer la moitier de mes hommes sous mes yeux il m'agrippa et me traina dehors pour que je vois la cathédrale s'éfondrer dans une énorme explosion. Le rêve de toute ma vie venait de s'éfondrer. Le rouge des flammes ses alors imprimer dans mes yeux pour que je n'oublie jamais ce jour. Gabriell ma épargner, me laissant seul dans ma tristesse. Par la suite je suis devenu un vagabon, une ame en peine errant sans but. Puis un jour Worf m'a donner rendez-vous dans les bois après m'avoir reconnu sous ma capuche. Je n'écrirait pas ce qu'il m'a dit car il n'y a aucun mot que je ne pourait écrire pour exprimer toute la bonter qui resortait de cet homme. Un but a ma vie, c'est ce qu'il m'a redonner et pour le remercier je l'ai suivis dans La Brigade Des Faucons. Mais au fond de mon coeur je n'oublirait pas les morts, les Paladins, Gwangi et Gabriell, je suis Paladin et je resterai.
Chapitre cinq : Une bataille, une victoire, un espoirMême si les Paladins n'étaient plus, la bataille de Gathol elle était inévitable. Je pouvait voir toutes les forces se rassembler. A chaque jour les troupes était plus nombreuses. Je me promenait parmis les tentes et pouvoir voir une certaine lueur dans les yeux des soldats, une lueur d'espoir. Ce jour la j'a décider d'aller me receuillir au Temple pour la nuit. Le temps de faire quelques prières. Lorsque je suis revenu une vision d'horreur s'offrit a moi. Les flammes, c'est même flammes qui avait réduit a néant la Cathédrale. Les soldats couraient dans tout les sens, les tentes brulaient et moi je regardait ces flammes qui hantaient mes rêves. L'incendi fut m'aittriser et on m'appris que ceci était l'oeuvre de Sokar. Le leader même de L'ordre de l'apocalyspe, oui je connaissait beaucoup cet ordre car j'avait appris que Gabriell lui même l'avait rejoin. Les dirigeants étaient furieux d'un tel acte de la part de Sokar alors le jour suivant les troupes se mirent en marche. Je n'ai pas participer a cette bataille, de la peur me dirai vous? Je ne crois pas. Plutot que la vision d'un autre bain de sang allait surement me rendre fou. Après tout j'était responsable de ce boucher que fut la bataille de Gathol. Un massacre en notre faveur certe puisque Gathol était a nous mais un massacre quand même. Mais derriere tout ce sang je pouvait voir le premier pas vers la paix sur ce monde.
Chapitre six : La nuit de l'angeSuite a la bataille les démons étaient disperser aux quatre vents mais ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils reprennent la citée. Nous avions réussis a capturer Sokar mais je m'interessait plus au deuxième prisonnier que nous avions fait : Gabriell. Je me suis rendu a sa cellule et la je me suis apercu de quelque chose. Il avait, comment dire "changer". Il parlait d'une voix calme et semblait prêt a accepter tout chatiment. Peut-être le rituel n'avait rien fait après tout, peut-être que c'était lui qui voulait changer. Quoi qu'il en soit quelques semaines plus tard il eu un procès juste et équitable. Je ne suis pas venu de peur que cela finisse par une éxécution, ce qui me dégoutait car personne ne mérite la mort. Néanmoin j'ai receuilli plusieurs récits de differentes personnes et voici ce qui sait passer. Un groupe de quatre ou cinq personnes serait aller a la prison Lodoss pour l'escorter jusqu'à la salle du tribunal. Le transfer se serait passer sans embrouille parait t'il. Lorsqu'il arriva ont pouvait voir tout le monde ou presque lui lancer un regard noir, une regard de haine. Après il fallait lui trouver une défence et Lisèn ce proposa, un choix que je commence a peine a comprendre aujourd'hui. Suite a ca le procès se déroula normalement jusqu'a ce que le premier témoin s'avance : c'était Vicius. Après quelques question poser par la défence, l'acusation représenter par Silk commenca a l'intéroger. Puis il posa une question dont la réponse boulversa tout le monde : "Quel sont vos sentiments a présent?" et Vicius répondit tout simplement "Je l'ai pardonner". La suprise pouvait se lire dans le visage de tout le monde. Même Gabriell semblait surprit par cette parole, mais après un certain temps son regard changa comme si il avait compris. Suite a cela une chose horrible se produisi : une trahison. L'une des personnes présente a procès :Girls'mortel était a la solde des démon et était ici pour liberer Gabriell avec d'autre personnes quelle aurait fait discrêtement entré. Un grand combat sen suivit. Mais Gabriell et Vicius eux se fixait sen rien dire. Puis les deux partirent en direction du chateau et montèrent sur la plus haute tour. Selon les dires de Vicius une grande discusion s'en suivis, apparament Gabriell en avait asser de cette vie ou il était poursuivi en permanence. La bonter était en lui, mais il n'aurait aucun répit que se soit par le bien ou le mal il se ferait traquer sans relache. Il déscida de s'enlever la vie, je suis sur que la ou il est il a enfin trouver la paix. peut-être que si le procès n'aurait pas été interrompu il aurait gagner.
Chapitre sept : Une vie briser, un amour retrouverPuis vin un soir, un soir ou je promenait en ville. Regardant les étoiles, réfléchissant dans le calme de la nuit. Je me suis arrêter a une petite auberge exterieur pour mieux penser. Mais a la table a côter de moi était assise une femme fixant son verre. Au début je ne m'en suis pas occuper, elle m'ignorait et j'avait déjas comander mon verre. Puis je me suis mit a la regarder, a l'observer et plus je le regardait plus je voyait en elle un air famillier un air qu'au fond de moi je n'avait jamais oublier. Puis je me suis souvenu, souvenu de celle qui était partit, de celle dont j'attendait le retour depuis toute ces années. Je me suis avancer avec hésitation. Ne sachant, quoi dire, ne sachant quoi faire mais je voulais être certain que c'était bien elle. Quesque j'avais a perdre de toute facon? En fait, pas grand chose depuis un certain temps sinon ma vie. J'était maintenant pres d'elle mais elle m'igonrait toujours son regard étant fixer sur la table. Je l'ai aborder normalement au ca ou sa ne serait pas elle mais lorsqu'elle a tourner la tête vers moi et que nos regard se sont croiser il n'y avait plus aucun doute. Gwangi était de retour et apparament elle était aussi surprise que moi. Après quelques minutes de discution je me suis enfin décider a lui demander pourquoi elle était partit. Apparament elle serait partit pour me sauver la vie. C'était sa vie ou la mienne et elle a choisie de se sacrifier. Personellement j'aurait préferer qu'elle ne fasse pas cela et qu'elle laisse sur moi toute la souffrance qu'elle a endurer. Mais ce qui est fait est fait et maintenant qu'elle est la je ferait tout pour qu'elle n'ai plus a soufrir.