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Voilà si vous voulez voir avec l'html. En effet, c'est un rp plustôt spécial, que je bichonne particulièrement (une de mes passions est l'écriture).
Si vous allez voir ma description html, j'ai une petite intro provocatrice (hihi) et une explication sur l'issu de mon personnage. Elear en elfique veuxdire étoile de mer. Il est issu de mon imagination et fait parti d'une histoire que j'écris (12 chapitres de 3 pages A4.)
Sans plus tarder, mon rp spécial. (en effet j'étais djidan57 avant, et j'ai fais de nombreux rp tel que Esgaroth, Edoras, ou remagnier celui de Qintara actuel, ou encore pour des personnes tel Kaito'sS et bien sûr moi même.)
RPFin d'Edoras
L'un après l'autre je les ai vu s'en aller,
Un par un, les bateaux ont quitté le rivage;
A mesure de ces innombrables années,
Ils ont tous voulu rejoindre ce monde plus sage;
Fatigués par les rudes Terres du Milieu
Qu'ils ont pourtant aimé et longtemps arpenté,
Nombreux ont-ils été à partir sous mes yeux
trouver le Royaume Béni tant regretté;
Ainsi ont-ils embarqué pour ce long voyage,
Et sous la protection d'Ulmo Seigneur des Eaux,
Ont-ils enfin pu accoster sur les rivages
Du Pays d'Aman, que n'atteignent pas les maux
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Seul dans vesperea
Tandis que dans la solitude
Je regarde tomber le soir,
Le ciel en une multitude
Se couvre de lueurs d’espoir.
Pendant que règne le silence
De la vallée à la cité,
Emerveillé par sa présence
Je contemple l’immensité :
Partout scintillent les étoiles
Qui sans fin éclairent la nuit,
Leur blanche clarté me dévoile
Toute la beauté de minuit.
En mon cœur naissent les paroles
D’un chant triste et mélodieux
Et soudain les notes s’envolent
De mes lèvres vers les cieux.
Alors mes pensées une à une
Deviennent rêves lentement,
Vagabondant au clair de lune
Sous la splendeur du firmament
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Quitte la solitude et trouve une solution...
Traces de pas sur un sable que la mer efface
Qu’y a-t-il au-delà de ce mur d’écumes argentées
Qui berce mon cœur et le brise sur les rochers ?
Qui y a-t-il qui m’appelle là-bas,
Dont les chants tristes m’emplissent de soupirs las ?
Sur quelles rives devrais-je aller,
Loin de mes montagnes et de mes forêts,
Loin de tout ce que j’aime et qui m’aimait ?
Vers quoi m’avancer, quand mon chemin derrière moi s'efface à jamais ?
Traces de larmes sur mon visage que le vent assèche
Quel destin me condamne à voir chaque seconde disparaître,
A mourir avant de m’être vue naître ?
Quel destin m’entraîne si loin, me fait abandonner
Mes encres vertes et mon passé ?
Trouverai-je une barque, un passeur
Pour m’emmener vers ce que j’ignore,
Vers ce que nul ne connaît ?
Où se trouve l’embarcadère où ils m’attendraient ?
Traces de sel sur mes lèvres desséchées
Je marche, je marche et cherche encore
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La voix de la raison...
Suis ma voix au-delà du vent,
Au-delà des mers et du temps,
Là où le silence est musique.
Viens où mes rêves en se brisant
S’évadent en rivière d’argent,
Cascatelles toujours uniques.
Emmêle à tes danses mes chants,
Dans tes cheveux papillons blancs,
Et dans tes mains joyaux elfiques.
Rejoins-moi, nos arbres sont grands,
Leurs feuilles sont d’or maintenant,
Leurs profondes racines antiques.
Le jour s’est fini lentement,
Les autres dorment, indolents,
Viens marcher dans nos bois magiques !
Quitte-donc ton île en chantant,
Elear, sâche que je t’attends,
Sous les ramures mélodiques
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Qintara...
Toute ma vie durant
J'ai cherché ce lieu
Ou l'on se sent vivant
Ou l'on ne devient jamais vieux
Ce lieu ou je serai quelqu'un,
Mes talents y seront appreciés,
Je n'ecrirai plus en vain
Et mes defauts seront tous oubliés.
Lorsque je le trouverai
Je serai si soulagée
Mon coeur trouvera la paix
Sur cette belle île dorée
Mais si je ne trouvais pas
Ces fameuses terres immortelles
L'amitié non plus je ne la trouverai
Et le bonheur pour moi sera toujours un mystère.
Mais je crois avoir trouver ce lieu
En ces terres parsemées de Lilas
Je crois que c'était le mieux
Pour moi, réfugié d'Algaësia...